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Où se former

14 juillet 2016

Les admissions parallèles, intégrer autrement les écoles de commerce

Beaucoup d’étudiants ont commencé leur cursus par un DUT ou un BTS. Sans pour autant tourner le dos à la vie active, ils ont fait le choix de continuer leurs études et de ne se lancer qu’une fois leur diplôme en poche. Mais ce choix s’avère parfois purement stratégique ; une fois diplômés en Bac + 2, il leur est en effet possible d’accéder aux grandes écoles via les concours d’admissions parallèles. Leur objectif, décrocher un diplôme encore plus valorisé et parfaire leurs connaissances théoriques et pratiques.

Objectif master

Nombreuses sont les raisons qui poussent les candidats aux écoles de commerce à emprunter ce chemin des admissions parallèles. Si certains n’ont pas d’idées claires sur leur avenir, et envisagent cette opportunité comme un moyen d’ajouter une corde à leur arc, d’autres ont déjà en tête un parcours de formation précis et des ambitions clairement définies. Tous se rejoignent pour autant dans le même désir de compléter leur formation initiale par un haut niveau d’enseignement, et l’obtention d’un master (bac+5).

Des écoles de commerce reconnues par les entreprises

Les écoles de commerce sont aussi la voie royale vers une double compétence ; à la fois formés sur le terrain et préparés à occuper des postes à responsabilité, les étudiants de Master suivent un cursus complet, en adéquation avec la vie réelle au sein d’une entreprise, et avec une ouverture plus grande sur l’international que s’ils s’étaient cantonnés à un 1er ou un 2nd cycle. A l’issue de leur formation, ils sont naturellement mieux préparés à entrer dans la vie active et débuter leur carrière. Plus loin encore, s’ils n’accèdent pas immédiatement au poste de leur rêve, ils voient bien souvent leur progression au sein de l’entreprise s’accélérer peu de temps après y avoir fait leurs premières armes. Enfin, cette formation complète, technique et théorique à la fois, leur confère une réelle capacité d’adaptation et une autonomie qui font parfois défaut à leurs camarades plus jeunes. 

 

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Les admissions parallèles, des profils variés

Quelles que soient leurs raisons, par stratégie ou simple changement de cap, tous les étudiants doivent garder en tête que leurs choix doivent être cohérents et compréhensibles par les employeurs potentiels, qui seront naturellement les premiers juges. Rien de plus déroutant qu’un candidat qui semble avoir longuement hésité avant de choisir le métier pour lequel il se présente à un entretien. Pour autant, les candidats aux admissions parallèles sont souvent accueillis à bras ouverts par les écoles de commerce qui voient en eux un moyen d’apporter plus de diversité et de richesses à leurs promotions.

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14 juillet 2016

L’école de commerce : alternance ou « classique » ?

La filière dite « classique » offre une formation qui n’exclue pas la pratique. Cependant, il est vrai qu’un étudiant qui souhaiterait acquérir une plus grande expérience en entreprise préférera se diriger vers l’alternance. Pour les employeurs, ce choix représente bien souvent un atout, puisqu’ils considèrent que l’étudiant, ou jeune diplômé sera autonome plus vite. En réalité, beaucoup d’étudiants constatent eux-mêmes la différence de considération entre le statut de stagiaire et celui d’apprenti. En alternance, ils notent en particulier qu’une place réelle leur est réservée au sein de l’équipe, et ils peuvent ainsi prendre toute la dimension du métier vers lequel ils se forment. En revanche, certains regrettent aussi la répétition de certaines tâches, et le peu d’évolution à plus ou moins long terme, dans le nombre et le type de tâches qui leurs sont demandées.

En « classique », un étudiant aura lui aussi à travailler en entreprise, mais dans le cadre de stages qui lui permettront de changer plusieurs fois d’activités et multiplier ainsi les expériences. Mais la courte durée de ces stages sera parfois perçue comme insuffisante pour certains employeurs qui savent que les alternants ont bien souvent, en plus de leur « longue expérience », bénéficié de l’encadrement et des conseils précieux d’un tuteur.

Le choix de l’alternance revêt un autre intérêt de taille ; il permet aux étudiants ayant opté pour cette solution de financer voire se faire financer leurs études par l’entreprise elle-même par le biais de la taxe d’apprentissage, tout en touchant en plus une petite rémunération.

Côté cours, la formation est identique en classique et en alternance. Les étudiants se retrouvent d’ailleurs bien souvent mélangés dans des séminaires communs et apprennent ensemble la partie théorique du métier. Le cursus, jalonné de travaux de groupe, de mémoires et d’exercices pratiques, avec parfois un stage à l’étranger, leur permet à tous d’acquérir une solide base de connaissances reconnue par les entreprises. C’est d’ailleurs bien souvent la réputation de l’école et de la formation qu’elle dispense qui fait le reste au cours des entretiens d’embauche. Les étudiants ne s’y trompent pas.

Classiques et alternants ont ainsi leurs avantages et leurs inconvénients qu’il convient de mesurer avant de faire un choix. L’idéal serait évidemment pour l’étudiant de trouver l’entreprise de rêve, celle qui lui offrira de nombreuses possibilités de changer de poste, voire de pays, et de multiplier les occasions de se former par la pratique. Pas facile de trouver cette perle rare, surtout en temps de crise ; ne reste alors au candidat pour faire son choix qu’à se fier à sa personnalité, à son ambition et à ses besoins en matière d’encadrement.

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14 juillet 2016

Comment choisir son école de commerce ?

En cette période d’incertitudes, beaucoup d’écoles de commerce ont été amenées à repenser leurs exigences. Si les classes ont parfois été remplies avec difficulté, cette période de crise a également eu un effet positif. Les étudiants étrangers sont désormais les bienvenus, au cœur d’un système qui se veut plus proche du système des Business Schools que l’on trouve outre Atlantique. Cette ouverture nouvelle à l’américaine a également entraîné un changement profond dans la vision-même de l’enseignement, et de la vie de l’école. Partenariats, double cursus, stages à l’étranger, etc. sont autant d’options désormais proposées aux étudiants de ces écoles qui se veulent former une nouvelle élite ; quant à l’offre des activités extrascolaires, elle s’est étoffée au point de faire de ces écoles de commerce nouvelle génération, de véritables lieux de vie et de réseautage social.

Un foisonnement d’offre d’écoles de commerce

Les écoles de commerces, malgré la crise, conservent ainsi une réputation tout à fait honorable. Elles sont la garantie pour les diplômés de trouver un emploi dans un délai raisonnable, et d’envisager à court terme un salaire parfois élevé, en fonction des secteurs d’activité choisis. Mais pour ce faire, encore faut-il accéder à la bonne école de commerce, c’est-à-dire celle dont les exigences en termes de recrutement, la notoriété, la qualité des enseignements, et les cursus disponibles (en France et/ou à l’étranger) seront les plus attractifs pour les futurs employeurs. Tous ces facteurs doivent évidemment être soigneusement détaillés par le candidat à l’école de commerce.

Car il y a à boire et à manger sur le marché. Si les classements placent certaines sur le devant de la scène, il est parfois étonnant de constater que toutes les écoles ne se réfèrent pas aux mêmes critères pour faire valoir leur légitimité. Et il est souvent difficile de s’y retrouver.

Penser à son plan de carrière, un point de départ incontournable

L’étudiant doit aussi, bien sûr, avoir bien réfléchi à ses propres aspirations, et faire la part des choses entre études longues ou courtes, entre les secteurs d’activité, les fonctions ou encore pays où il souhaite faire carrière. Dans ce dernier cas, le plus judicieux sera naturellement de se rapprocher d’une école proposant un partenariat avec l’un de ces pays.

Le troisième cycle, un passage obligé ?

Le choix d’une école de commerce n’est donc pas chose aisée et repose sur un grand nombre de critères parfois difficiles à démêler. D’autant que la route peut s’avérer plus longue que prévu. Une fois le diplôme en poche, il faudra encore choisir de continuer vers un troisième cycle ou se lancer immédiatement dans la vie active. A l’étudiant une fois, d’étudier les attentes du marché et de choisir le troisième cycle le plus pertinent par rapport à son projet professionnel ; tous n’ont pas la même valeur et la même réputation, et il est très facile de succomber aux sirènes des écoles de commerce qui  se targuent d’être les premières dans tel ou tel classement.

De ces choix parfois cornéliens, dépendent les perspectives d’avenir d’étudiants souvent attirés par des carrières diverses à des postes à responsabilité allant de l’enseignement au commerce, en passant par le marketing ou le commerce international.

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